The latest high growth rates recorded by the continent these15 years, gave birth to a new class called individual: the middle class.This would be typical of those earning between 2 and 20 dollars per day and is expected to increase from 355 million people (34% of the population) to 1.1 billion (42% of the population) by 2060.
However, much of the African middle class (around 180 million people) flirt the poverty line..Because, Who have not yet acquired the necessary financial stability, allowing him to get out of poverty permanently (between 2 and 4 dollars per day gain).
This fringe of the African population would have a major role to play in the respective economies continent.Its consumer spending reached an estimated $ 680 billion in 2008.To say, almost a quarter of the GDP of Africa.
By 2030, this figure is expected to reach 2.200 billion dollars, Africa would represent about 3% of world consumption.
Although the reputation of many spare, nationals of the African middle class still use a portion of their income for leisure.This segment of the population is inclined towards the health-related expenses, education ... As to, equipment such as televisions, refrigerators and other ...
Within the middle class, education and mobility are key factors in employment.They enable people to migrate to new areas or wages are attractive.Or settle in urban areas with more job opportunities.
In recent years, the continent has experienced a boom in manufacturing and services.In particular, telecommunications and finance.This growth, should result in sustained growth of future middle class jobs.
African cities continue to know rapidly, creating dynamic environments conducive to innovation and increased labor productivity.
In spite of these positive developments the informal sector will continue to dominate the labor market in the medium term.
The rise of the middle class is also a huge challenge in terms of service delivery.Significant investments must be financed while at the same time the most vulnerable must be protected to avoid falling back into poverty.
The middle class has more purchasing power than the poor.And is therefore best placed to help finance infrastructure improvements.
However, keeping count of the floating category (those who earn between 2 and 4 dollars per day), it will probably keep user fees low enough to be affordable.
The major difficulty is how to bridge the huge infrastructure financing gap.Africa needs 19-20 billion dollars a year to ensure all its inhabitants access to electricity by 2019.
Access to improved water sources requires a total investment of 16 billion dollars per year.While improving sanitation would cost between 17 and 18 billion dollars per year.
Finally, the emergence of the African middle class will not be sustaining that if the continent is implementing strategies to promote prosperity for all.Without such measures, which go particularly by broadening employment opportunities, social tensions could undermine middle classes growth.This one also depend on the policies that will be implemented to promote improvement of infrastructure, sustainable and shared growth, human resource development, private sector participation and strengthening governance and the culture of accountability.Social policies can help accelerate this emerging trend, for example through expenditure directed towards the poor in the areas of education and health.During, the next twenty years through adequate policies of human capital development and job creation, Africa can succeed in transforming its social fabric as an increasing share of its population out of poverty to join the ranks of the middle class.
This is our modest contribution relative to the emergence of the middle classes in Africa.
Frédéric Betta-Akwa
jeudi 25 juin 2015
vendredi 19 juin 2015
LES CLASSES MOYENNES EN AFRIQUE.
Les forts taux de croissance enregistrés par le continent africain ces 15 dernières années, ont donné naissance à une nouvelle catégorie d'individu dénommée: la classe moyenne.Celle-ci, serait caractérisée par des personnes gagnant entre 2 et 20 Dollars par jour et devrait passer de 355 millions de personne (34% de la population) à 1,1 milliard (42% de la population) d'ici à 2060.
Cependant, une grande partie de la classe moyenne africaine (autour de 180.000.000 de personnes) fleurte avec le seuil de pauvreté.Car, n'ayant pas encore acquis la stabilité financière nécessaire, lui permettant de sortir définitivement de la pauvreté (entre 2 et 4 Dollars par jour de gain).
Cette frange, de la population africaine aurait un rôle majeur à jouer dans les économies respectives du continent.Ses dépenses de consommation ont atteint un montant estimé à 680 milliards de Dollars en 2008.C'est à dire, quasiment le quart du PIB de l'Afrique.
D'ici 2030, ce chiffre devrait atteindre 2.200 milliards de Dollars,l'Afrique représenterait alors environ 3% de la consommation mondiale.
Bien qu'ayant la réputation de beaucoup épargner, les ressortissants de la classe moyenne africaine utilisent quand même une part de leur revenu pour les loisirs.Ce segment de la population est porté vers les dépenses relatives à la santé,l'éducation...Ainsi que vers, des équipements tels que: les téléviseurs,réfrigérateurs et autres...
Au sein de la classe moyenne,l'éducation et la mobilité sont des facteurs majeurs en matière d'emploi.ils permettent aux individus de migrer vers de nouveaux secteurs ou les salaires sont plus attractifs.Ou de s'installer dans les agglomérations urbaines offrant d'avantage de possibilité d'emploi.
Ces dernières années, le continent a connu un boom de l'industrie manufacturière et des services.Notamment, les télécommunications et la finance.Cet essor, devrait se traduire par une croissance soutenue des futurs emplois de la classe moyenne.
Les villes africaines continueront à connaitre une expansion rapide , créant ainsi les environnements dynamiques,propices à l'innovation et à l'augmentation de la productivité de la main d’œuvre.
En dépit, de ces progrès positifs le secteur informel continuera de dominer le marché du travail à moyen termes.
La progression de la classe moyenne représente par ailleurs, un immense défi en termes de prestation de services .Des investissements importants doivent être financer alors que dans le même temps les plus vulnérables doivent être protéger pour ne pas retomber dans la pauvreté.
La classe moyenne bénéficie d'un plus grand pouvoir d'achat que les pauvres.Et est donc, mieux placée pour contribuer au financement de l'amélioration des infrastructures .
Cependant,comte tenue de la catégorie flottante (ceux qui gagnent entre 2 et 4 Dollars par jour), il faudra sans doute maintenir la tarification des usagers à un niveau suffisamment bas pour être abordable.
La difficulté majeure consiste à déterminer comment combler l'immense déficit de financement des infrastructures.L'Afrique a besoin de 19-20 milliards de Dollars par an pour assurer à tous ses habitants l'accès à l'électricité d'ici 2019.
L'accès à des sources d'eaux améliorées nécessite un investissement total de 16 milliards de Dollars par an .Tandis que, l'amélioration des installations sanitaires coûteraient entre 17 et 18 milliards de Dollars par an.
Enfin, l'émergence de la classe moyenne africaine ne pourra être pérenniser que si le continent met en place des stratégies visant à favoriser la prospérité de tous.Sans de telles mesures,qui passent notamment par l'élargissement ds possibilités d'emploi, les tensions sociales risquent de saper la croissance de la classe moyenne.Celle ci dépendra aussi des politiques qui seront menées pour favoriser l'amélioration des infrastructures , une croissance durable et partagée ,la valorisation des ressources humaines, la participation du secteur privé et le renforcement de la gouvernance ainsi que de la culture du rendre compte.Les politiques sociales peuvent contribuer à accélérer cette tendance émergente par exemple par le biais de dépenses orientées vers les pauvres dans les domaines de l'éducation et de la santé.Au cours, des vingt prochaines années grâce à des politiques adéquates de développement du capital humain et de création d'emplois ,l'Afrique peut parvenir à transformer son tissu social à mesure qu'une part croissante de sa population sortira de la pauvreté pour rejoindre les rangs de la classe moyenne.
Voilà,notre modeste contribution relative à l'émergence des classes moyennes en Afrique.
Frédéric Betta-Akwa
Cependant, une grande partie de la classe moyenne africaine (autour de 180.000.000 de personnes) fleurte avec le seuil de pauvreté.Car, n'ayant pas encore acquis la stabilité financière nécessaire, lui permettant de sortir définitivement de la pauvreté (entre 2 et 4 Dollars par jour de gain).
Cette frange, de la population africaine aurait un rôle majeur à jouer dans les économies respectives du continent.Ses dépenses de consommation ont atteint un montant estimé à 680 milliards de Dollars en 2008.C'est à dire, quasiment le quart du PIB de l'Afrique.
D'ici 2030, ce chiffre devrait atteindre 2.200 milliards de Dollars,l'Afrique représenterait alors environ 3% de la consommation mondiale.
Bien qu'ayant la réputation de beaucoup épargner, les ressortissants de la classe moyenne africaine utilisent quand même une part de leur revenu pour les loisirs.Ce segment de la population est porté vers les dépenses relatives à la santé,l'éducation...Ainsi que vers, des équipements tels que: les téléviseurs,réfrigérateurs et autres...
Au sein de la classe moyenne,l'éducation et la mobilité sont des facteurs majeurs en matière d'emploi.ils permettent aux individus de migrer vers de nouveaux secteurs ou les salaires sont plus attractifs.Ou de s'installer dans les agglomérations urbaines offrant d'avantage de possibilité d'emploi.
Ces dernières années, le continent a connu un boom de l'industrie manufacturière et des services.Notamment, les télécommunications et la finance.Cet essor, devrait se traduire par une croissance soutenue des futurs emplois de la classe moyenne.
Les villes africaines continueront à connaitre une expansion rapide , créant ainsi les environnements dynamiques,propices à l'innovation et à l'augmentation de la productivité de la main d’œuvre.
En dépit, de ces progrès positifs le secteur informel continuera de dominer le marché du travail à moyen termes.
La progression de la classe moyenne représente par ailleurs, un immense défi en termes de prestation de services .Des investissements importants doivent être financer alors que dans le même temps les plus vulnérables doivent être protéger pour ne pas retomber dans la pauvreté.
La classe moyenne bénéficie d'un plus grand pouvoir d'achat que les pauvres.Et est donc, mieux placée pour contribuer au financement de l'amélioration des infrastructures .
Cependant,comte tenue de la catégorie flottante (ceux qui gagnent entre 2 et 4 Dollars par jour), il faudra sans doute maintenir la tarification des usagers à un niveau suffisamment bas pour être abordable.
La difficulté majeure consiste à déterminer comment combler l'immense déficit de financement des infrastructures.L'Afrique a besoin de 19-20 milliards de Dollars par an pour assurer à tous ses habitants l'accès à l'électricité d'ici 2019.
L'accès à des sources d'eaux améliorées nécessite un investissement total de 16 milliards de Dollars par an .Tandis que, l'amélioration des installations sanitaires coûteraient entre 17 et 18 milliards de Dollars par an.
Enfin, l'émergence de la classe moyenne africaine ne pourra être pérenniser que si le continent met en place des stratégies visant à favoriser la prospérité de tous.Sans de telles mesures,qui passent notamment par l'élargissement ds possibilités d'emploi, les tensions sociales risquent de saper la croissance de la classe moyenne.Celle ci dépendra aussi des politiques qui seront menées pour favoriser l'amélioration des infrastructures , une croissance durable et partagée ,la valorisation des ressources humaines, la participation du secteur privé et le renforcement de la gouvernance ainsi que de la culture du rendre compte.Les politiques sociales peuvent contribuer à accélérer cette tendance émergente par exemple par le biais de dépenses orientées vers les pauvres dans les domaines de l'éducation et de la santé.Au cours, des vingt prochaines années grâce à des politiques adéquates de développement du capital humain et de création d'emplois ,l'Afrique peut parvenir à transformer son tissu social à mesure qu'une part croissante de sa population sortira de la pauvreté pour rejoindre les rangs de la classe moyenne.
Voilà,notre modeste contribution relative à l'émergence des classes moyennes en Afrique.
Frédéric Betta-Akwa
lundi 15 juin 2015
LE SECTEUR INFORMEL EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE.
La fin de la décennie 70 et le début des années 80 marquent un tournant majeur pour le continent Africain.
L'Afrique Subsaharienne à cette époque fait face à une crise économique sans pareil.Cette dernière sera donc placer sous tutelle du F.M.I et de la Banque Mondiale qui vont lui prescrire un traitement de cheval qui n'est-autre que des plans d'ajustements structuraux ( réduction des salaires , baisse des effectifs , privatisations des entreprises d'états ).Tous ces éléments mis bout à bout vont constituer le terreau approprié pour le développement d'un secteur d'activité échappant à toute législation pénale , sociale , et fiscale dénommée : LE SECTEUR INFORMEL.
Déja à l'époque coloniale , les agents économiques arrivaient à soustraire leur production de l'impôt dit de CAPITATION.Et dénoncé par les leaders Africains de l'époque tels que : GRENARD MATSOUA du Congo Brazaville.
Le secteur informel apparait comme une seconde chance pour les populations d'Afrique Subsaharienne qui se voient du jour au lendemain soumisent à un chômage et une pauvreté chronique.Instinct de survie oblige , toutes ces populations vont se ruer vers ce nouveau secteur d'activité qui est pour eux porteur de tant d'espoirs et qui échappe à tout contrôle de la part de l'état.Ceci n'est qu'un facteur parmi tant d'autres qui ont contribué à l’essor du secteur informel en Afrique Subsaharienne :
De fil en aiguille , cette nouvelle branche de l'économie Africaine combattue par les gouvernements d'Afrique Subsaharienne et adulée par les populations locale va se développer et devenir un maillon indispensable pour les différentes économies d'Afrique Subsaharienne ( B.I.T ). A tel enseigne que le F.M.I et la Banque Mondiale finissent par l'encourager.
L'on retrouve au sein du secteur informel presque toutes les activités existants dans le secteur formel ( banque , immobilier , hôtellerie , médecine de proximité ).Ceci au point ou parfois, l'on arrive pas à faire une différence claire entre les activités dites formels et celles dites informels.
Cependant , nous pouvons noter un fait majeur :
Au cours de ces trente dernières années, l'Afrique Subsaharienne a enregistré l'un des plus fort taux de croissance si non le plus fort.La croissance en Afrique Subsaharienne est de l'ordre de 6,5% par an .Et l'on observe aussi une baisse de l'inflation à 7,5% en 2007 ( lundi 5 novembre , SEAN NOLA , représentant du F.M.I en Afrique ).Mais malgré cela , le secteur informel continue son expansion.Car, la croissance en Afrique Subsaharienne est tirée par les exportations des matières premières et n'entraine pas le progrès social , ni la baisse du chômage , ni l'amélioration du pouvoir d'achat.D 'ou l'encrage profond du secteur informel dans les économies d'Afrique Subsaharienne.
Au vue de tout ceci , les gouvernements d'Afrique Subsaharienne gagneraient à mettre sur pied des politiques qui encadrent le secteur informel ainsi que ses différents acteurs et non qui tendent à le détruire.Et aussi qui permettent son intégration progressive au sein du secteur formel.
Le secteur informel joue un rôle majeur dans la stabilité politique , économique et sociale de leurs différents états.
Si aujourd'hui, le pourcentage de la population vivant sous le seuil de 1,25 dollars par jour dans les pays d'Afrique Subsaharienne a chuté de 52% à 26% entre 1981 et 2005 ( Figaro , 27 août 2008 ).Cela est surtout le fait du secteur informel.
Voilà,ce qui concerne notre modeste contribution relative au secteur informel en Afrique.
Frédéric Betta-Akwa.
L'Afrique Subsaharienne à cette époque fait face à une crise économique sans pareil.Cette dernière sera donc placer sous tutelle du F.M.I et de la Banque Mondiale qui vont lui prescrire un traitement de cheval qui n'est-autre que des plans d'ajustements structuraux ( réduction des salaires , baisse des effectifs , privatisations des entreprises d'états ).Tous ces éléments mis bout à bout vont constituer le terreau approprié pour le développement d'un secteur d'activité échappant à toute législation pénale , sociale , et fiscale dénommée : LE SECTEUR INFORMEL.
Déja à l'époque coloniale , les agents économiques arrivaient à soustraire leur production de l'impôt dit de CAPITATION.Et dénoncé par les leaders Africains de l'époque tels que : GRENARD MATSOUA du Congo Brazaville.
Le secteur informel apparait comme une seconde chance pour les populations d'Afrique Subsaharienne qui se voient du jour au lendemain soumisent à un chômage et une pauvreté chronique.Instinct de survie oblige , toutes ces populations vont se ruer vers ce nouveau secteur d'activité qui est pour eux porteur de tant d'espoirs et qui échappe à tout contrôle de la part de l'état.Ceci n'est qu'un facteur parmi tant d'autres qui ont contribué à l’essor du secteur informel en Afrique Subsaharienne :
- L'explosion démographique : la population urbaine augmentait au rythme de 6% par an et celle des villes périphériques de 10% par an.Alors que les emplois augmentaient de 2% par an.
- La baisse du pouvoir d'achat.
- Les progrès scientifiques et techniques,ce qui va causer à son tour une baisse des emplois.
- Incapacité de l'état à répondre aux besoins fondamentaux des populations : emploi , santé , logement , éducation.Sont là aussi des éléments fondateurs du secteur informel.
De fil en aiguille , cette nouvelle branche de l'économie Africaine combattue par les gouvernements d'Afrique Subsaharienne et adulée par les populations locale va se développer et devenir un maillon indispensable pour les différentes économies d'Afrique Subsaharienne ( B.I.T ). A tel enseigne que le F.M.I et la Banque Mondiale finissent par l'encourager.
L'on retrouve au sein du secteur informel presque toutes les activités existants dans le secteur formel ( banque , immobilier , hôtellerie , médecine de proximité ).Ceci au point ou parfois, l'on arrive pas à faire une différence claire entre les activités dites formels et celles dites informels.
Cependant , nous pouvons noter un fait majeur :
Au cours de ces trente dernières années, l'Afrique Subsaharienne a enregistré l'un des plus fort taux de croissance si non le plus fort.La croissance en Afrique Subsaharienne est de l'ordre de 6,5% par an .Et l'on observe aussi une baisse de l'inflation à 7,5% en 2007 ( lundi 5 novembre , SEAN NOLA , représentant du F.M.I en Afrique ).Mais malgré cela , le secteur informel continue son expansion.Car, la croissance en Afrique Subsaharienne est tirée par les exportations des matières premières et n'entraine pas le progrès social , ni la baisse du chômage , ni l'amélioration du pouvoir d'achat.D 'ou l'encrage profond du secteur informel dans les économies d'Afrique Subsaharienne.
Au vue de tout ceci , les gouvernements d'Afrique Subsaharienne gagneraient à mettre sur pied des politiques qui encadrent le secteur informel ainsi que ses différents acteurs et non qui tendent à le détruire.Et aussi qui permettent son intégration progressive au sein du secteur formel.
Le secteur informel joue un rôle majeur dans la stabilité politique , économique et sociale de leurs différents états.
Si aujourd'hui, le pourcentage de la population vivant sous le seuil de 1,25 dollars par jour dans les pays d'Afrique Subsaharienne a chuté de 52% à 26% entre 1981 et 2005 ( Figaro , 27 août 2008 ).Cela est surtout le fait du secteur informel.
Voilà,ce qui concerne notre modeste contribution relative au secteur informel en Afrique.
Frédéric Betta-Akwa.
THE INFORMAL SECTOR IN SUB-SAHARAN AFRICA.
The end of the 70s and early 80s marked a major turning point for the African continent.
The Sub-Saharan Africa at that time faced unparalleled economic crisis. The latter will be placed under the supervision of the IMF and the World Bank who will prescribe a horse treatment which is nothing else than structural adjustment plan (reduction of wages, declining enrollment, the privatization of state enterprises ) .All these factors put together will provide an appropriate ground for the development of an industry beyond any criminal laws, social, and fiscal named: tHE INFORMAL SECTOR.
Already in the colonial era, economic agents are able to evade their output tax CAPITATION said. And denounced by African leaders of the time such as: GRENARD Matsoua (Congo Brazzaville).
The informal sector appears as a second chance for people in Sub-Saharan Africa who are overnight subject to unemployment and chronic poverty. Survival instinct compels all these people will rush to this new industry which is to them carrying so much hope and out of control on the part of the state. This is only one factor among many that contributed to the growth of the informal sector in Sub-Saharan Africa:
Sewing up, this new branch of the African economy opposed by Sub-Saharan African governments and adored by local populations will grow and become a vital link for the various economies of Sub-Saharan Africa (ILO). A brand such as the IMF and the World Bank eventually encouraged.
It is found in the informal sector almost all existing activities in the formal sector (banking, real estate, hotels, near Medicine) .This developed or sometimes we do not make a clear difference between called formal activities and those called informal.
However, we can note a major fact:
Over the last thirty years, Sub-Saharan Africa recorded one of the highest growth rates if not the strongest. Growth in Sub-Saharan Africa is on the order of 6.5% per year .And we also observed a decline in inflation to 7.5% in 2007 (Monday, November 5, SEAN NOLA, IMF representative in Africa ) .But despite this, the informal sector continues to expand. For growth in Sub-Saharan Africa is driven by exports of raw materials and does not cause social progress or falling unemployment or improving purchasing power 'or deep inking of the informal sector in economies of sub-Saharan Africa.
In view of all this, governments in Sub-Saharan Africa would benefit from establishing policies that govern the informal sector and its various stakeholders and not that tend to destroy it. And that enable its gradual integration into the formal sector.The informal sector plays a major role in the political, economic and social stability of their different states.
If today, the percentage of the population living below $ 1.25 a day in Sub-Saharan African countries has dropped from 52% to 26% between 1981 and 2005 (Figaro, 27 August 2008) .This is especially because the informal sector.
This regard,our modest contribution on the informal sector in Africa
Frédéric Betta-Akwa
The Sub-Saharan Africa at that time faced unparalleled economic crisis. The latter will be placed under the supervision of the IMF and the World Bank who will prescribe a horse treatment which is nothing else than structural adjustment plan (reduction of wages, declining enrollment, the privatization of state enterprises ) .All these factors put together will provide an appropriate ground for the development of an industry beyond any criminal laws, social, and fiscal named: tHE INFORMAL SECTOR.
Already in the colonial era, economic agents are able to evade their output tax CAPITATION said. And denounced by African leaders of the time such as: GRENARD Matsoua (Congo Brazzaville).
The informal sector appears as a second chance for people in Sub-Saharan Africa who are overnight subject to unemployment and chronic poverty. Survival instinct compels all these people will rush to this new industry which is to them carrying so much hope and out of control on the part of the state. This is only one factor among many that contributed to the growth of the informal sector in Sub-Saharan Africa:
- Population explosion: the urban population is growing at 6% per year and that of the peripheral cities 10% per year. While jobs increased by 2% per year.
- The Decline in purchasing power.
- The Scientific and technical progress, which in turn will cause a decrease in jobs.
- Incapacity of the state to meet the basic needs: employment, health, housing and education. There are also founding elements of the informal sector.
Sewing up, this new branch of the African economy opposed by Sub-Saharan African governments and adored by local populations will grow and become a vital link for the various economies of Sub-Saharan Africa (ILO). A brand such as the IMF and the World Bank eventually encouraged.
It is found in the informal sector almost all existing activities in the formal sector (banking, real estate, hotels, near Medicine) .This developed or sometimes we do not make a clear difference between called formal activities and those called informal.
However, we can note a major fact:
Over the last thirty years, Sub-Saharan Africa recorded one of the highest growth rates if not the strongest. Growth in Sub-Saharan Africa is on the order of 6.5% per year .And we also observed a decline in inflation to 7.5% in 2007 (Monday, November 5, SEAN NOLA, IMF representative in Africa ) .But despite this, the informal sector continues to expand. For growth in Sub-Saharan Africa is driven by exports of raw materials and does not cause social progress or falling unemployment or improving purchasing power 'or deep inking of the informal sector in economies of sub-Saharan Africa.
In view of all this, governments in Sub-Saharan Africa would benefit from establishing policies that govern the informal sector and its various stakeholders and not that tend to destroy it. And that enable its gradual integration into the formal sector.The informal sector plays a major role in the political, economic and social stability of their different states.
If today, the percentage of the population living below $ 1.25 a day in Sub-Saharan African countries has dropped from 52% to 26% between 1981 and 2005 (Figaro, 27 August 2008) .This is especially because the informal sector.
This regard,our modest contribution on the informal sector in Africa
Frédéric Betta-Akwa
SMEs FINANCING IN SUB-SAHARAN AFRICA.
Sub-Saharan Africa seems to be the most injured region of the world for access to finance for SMEs, evidenced by the following elements against:
Frédéric Betta-Akwa
World region
|
Get credit
|
Register property
|
Investor protection
|
Contract compliance
|
Sub-Saharan Africa |
114
|
127
|
113
|
122
|
Africa Latin and Caribbean
|
64
|
93
|
83
|
108
|
Central Asia |
107
|
73
|
111
|
70
|
East Asia and Pacific
|
65
|
70
|
61
|
71
|
South Asia |
77
|
89
|
74
|
121
|
Central and Eastern Europe
|
42
|
67
|
70
|
54
|
Middle East and North Africa
|
113
|
77
|
93
|
113
|
OECD
|
37
|
53
|
61
|
36
|
Throughout this article, we will study the causes, consequences and solutions of this phenomenon.
90% of SMEs in SSA are in the informal sector. They are, therefore, unable to provide bankers documents necessary for financing such as financial statements, addresses and other ... Who are essential criteria for the competition to bank credit.
Most SMEs promoters, are developing their businesses without any Preconditions studies (business plan, analysis of the environment ...) .This has the effect, lead to a lack of strategy in the short, medium and long term in the company's manager. And in addition, increases the risk aversion of bankers on the financing of SMEs.
The financial crisis of late 2007 and early 2008, is also considered one of the major factors in the decline of SME financing in SSA: the most local banks are subsidiaries of large foreign banks, these are found in the obligation to repatriate their funds to their parent companies based mostly in Europe and the US during the financial crisis of late 2007 and early 2008.
Which once again, lead to a closing of valves credit for SME financing in SSA. Whereas during the years 2000 to 2007, subsidiaries of large local banks were beginning to have an appetite for increasingly growing towards Sub-Saharan African SMEs. Because, after this period sub-Saharan Africa was becoming one of the few areas of the world with a stable growth of around 7-8% in a decade (the highest rate of return on private capital in the world).
Geographical and cultural distance between subsidiaries of major foreign banks based in SSA and local entrepreneurs also seems to be one of the major factors in the lack of SME financing in SSA: subsidiaries of major foreign banks in Africa Saharan do not always understand the environment in which they operate.
Other shares, the eligibility criteria for bank credit offered by the banks appear to be inaccessible to local SME bosses. And even for companies with a turnover enough and therefore already has a special relationship with the banks.
Securing credit is also considered one of the strongest links in the brake SME financing in SSA: we take for example the case of collateral such as land that are commonly used in this region of the world: The liquidation mechanisms of the past appear too complex, lengthy and costly in the eyes of bankers. Preferring once again, do not accept them as collateral.
Even so, bankers agree to finance SMEs; the latter complain of not winning enough in terms of return on investment. And a major risk for non repayment of said loans. The risk is very high in terms of the contribution Saharan Africa banks to finance for SMEs.
Credit and banking products offered by local banks often prove inadequate facing the local environment that is subject to specific rules. Sub-Saharan African banks usually offer loans at very low rates of maturity to local entrepreneurs. While they have long-term financing needed to feed their investment.
We must also note that after the economic crisis in Sub-Saharan Africa suffers the late 70s and early 80s, the priorities of the states were the establishment of stimulus policies of the economy. This has led to a diversion of bank financing of SMEs turning to slow; to a concentration towards the debt financing of the states that appeared safer at that time and still.In other words, we can say that because of the economic crisis of the late 70s and early 80s, banks have lost the habit of finance SMEs.
Tax and other pressures from the various Sub-Saharan Africa governments also appear to be one of the main causes in the lack of SME financing in SSA. For local SMEs prefer to remain in the informal sector.Because of fear of :fiscal pressures, social and other, exerted on them by the latter.
All these causes, are intended to cause a slowdown in the economies of Sub-Saharan African states and weaken. Because, essentially based on the export of raw materials. And not on a tissue strong SMEs and a strong consumption. This also leads to an increase in poverty because, beyond creating wealth, SMEs are also hiring engines.
Creating specialized units of credit in financing SMEs in local banks appears as one of the major solutions in access to finance for SMEs in Sub Saharan Africa. For, beyond provide financing to developers of local SMEs, also would study their financing applications case by case. And also would provide advice to the latter, for the management of resources that have been allocated.
The multiplication of intermediaries between bankers and entrepreneurs, also appears as one of the main pillars in improving relations between bankers and entrepreneurs in Sub-Saharan Africa. This, would be a risk sharing between local institutions with better knowledge of the SME financing market in SSA (NGOs, associations, microfinance institutions and others ...) and local banks. This method has been proven, especially in Ghana with the partnership between the Bank Of Ghana and associations of SUSU COLLECTORS.
The creation of business incubators in the different states of sub-Saharan Africa would enable our contractors to properly mature their business projects. And to identify any contours before putting them on the market. Which would lead to the emergence of a network of strong SMEs in SSA and competitive.
Improving the business climate in SSA is fundamental in the process of access to finance for SMEs in SSA. This aimed, to train attraction of FDI in SSA and better protect wearers financing for SMEs. For these quite often feel aggrieved during the legals disputes between them and local SMEs promoters.
This regard,our modest contribution relative on SMEs financing in sub-saharan Africa.
This regard,our modest contribution relative on SMEs financing in sub-saharan Africa.
LE FINANCEMENT DES PME EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE.
L’Afrique subsaharienne semble être la région du monde la plus lésée concernant l’accès au financement des PME, en témoignent les éléments ci-contre :
Région du monde
|
Obtenir un crédit
|
Enregistrer une propriété
|
Protection des investisseurs
|
Respect des contrats
|
Afrique Subsaharienne
|
114
|
127
|
113
|
122
|
Afrique Latine et Caraïbes
|
64
|
93
|
83
|
108
|
Asie Centrale
|
107
|
73
|
111
|
70
|
Asie de l’Est et Pacifique
|
65
|
70
|
61
|
71
|
Asie du Sud
|
77
|
89
|
74
|
121
|
Europe Centrale et Orientale
|
42
|
67
|
70
|
54
|
Moyen Orient et Afrique du Nord
|
113
|
77
|
93
|
113
|
OCDE
|
37
|
53
|
61
|
36
|
Tout au long de cet article, nous étudierons les causes, les conséquences et les solutions de ce phénomène.
90% des PME en ASS évoluent dans le secteur informel. Elles sont donc, dans l’incapacité de fournir aux banquiers des documents nécessaire à leur financement tels que : états financiers, adresses et autres…Qui sont des critères indispensables pour le concours au crédit bancaire.
La plupart des promoteurs de PME, mettent sur pied leurs entreprises sans faire toutes les études préalables (business plan, analyse de l’environnement…).Ce qui a pour effet, d’entraîner une absence de stratégie à court, moyen et long terme chez le gestionnaire de l’entreprise. Et en plus, augmente l’aversion au risque des banquiers concernant le financement des PME.
La crise financière de la fin 2007 et du début 2008, est aussi considérée comme l’un des facteurs majeurs dans le recul du financement des PME en ASS : la plupart, des banques locales étant des filiales des grandes banques étrangères, ces dernières ce sont trouvées dans l’obligation de rapatrier leurs fonds vers leurs maisons mères basées pour la plupart en Europe et aux USA lors de la crise financière de la fin 2007 et du début 2008.
Ce qui a une fois de plus, entraîner une fermeture des vannes de crédit concernant le financement des PME en Afrique Subsaharienne. Alors que, durant les années 2000 à 2007, les filiales des grandes banques locales commençaient à avoir un appétit de plus en plus grandissant à l’égard des PME d’Afrique Subsaharienne. Car, à compter de cette période l’Afrique Subsaharienne commençait à être l’une des seules régions du monde avec une croissance stable d’environ 7 à 8% depuis une décennie (le plus fort taux de rémunération du capital privée au monde).
La distance géographique et culturelle entre les filiales des grandes banques étrangères basées en Afrique Subsaharienne et les entrepreneurs locaux semble aussi être l’un des facteurs majeurs dans l’absence de financement des PME en Afrique Subsaharienne : les filiales des grandes banques étrangères situées en Afrique Subsaharienne ne comprennent pas toujours l’environnement dans lequel elles évoluent.
D’autres parts, les critères d’éligibilités au crédit bancaire proposés par ces banques semblent être inaccessibles pour les patrons des PME locales. Et même, pour les entreprises ayant un chiffre d’affaire assez conséquent et ayant déjà des relations privilégiés avec les banques.
La sécurisation des crédits est aussi considérée comme l’un des maillons forts dans le frein au financement des PME en Afrique Subsaharienne : nous prendrons par exemple, le cas des sûretés réelles tels que les terrains qui sont couramment utilisées dans cette région du monde : Les mécanismes de liquidation de ces dernières apparaissent trop complexes, longs et coûteux aux yeux des banquiers. Qui préfèrent une fois de plus, ne pas les accepter en tant que garantie.
Quand bien même, les banquiers s’engagent à financer les PME ; ces derniers se plaignent de ne pas gagner assez en termes de retour sur investissement. Et de courir un risque majeur en cas de non remboursement du dit crédit. Le risque est donc, très élevé en ce qui concerne la contribution des banques d’Afrique Subsaharienne au financement des PME.
Les crédits et les produits bancaires proposés par les banques locales s’avèrent souvent inadaptés face à l’environnement local qui obéit à des règles particulières. Les banques d’Afrique Subsaharienne proposent généralement des crédits à très faible taux de maturité aux entrepreneurs locaux. Alors que ces derniers ont besoin de financement à long terme pour assouvir leur besoin en investissement.
Nous devons aussi noter le fait qu’après la crise économique qu’a subit l’Afrique Subsaharienne vers la fin des années 70 et le début des années 80, les priorités des états étaient à la mise sur pied des politiques de relance de l’économie. Ce qui a entraîné un détournement des banques du financement des PME qui tournaient au ralenties ; vers une concentration en direction du financement de la dette des états qui apparaissaient plus sûr à cette époque et encore aujourdh’ui.En d’autres termes, nous pouvons dire qu’à cause de la crise économique de la fin des années 70 et du début des années 80, les banques ont perdue l’habitude de financer les PME.
Les pressions fiscales et autres de la part des différents gouvernements d’Afrique Subsaharienne semblent aussi être l’une des principales causes dans l’absence de financement des PME en Afrique Subsaharienne. Car, les PME locales préfèrent rester dans l’informel par peur des pressions fiscales, sociales et autres, exercées sur elles par ces derniers.
Toutes ces causes, ont pour finalité d’entraîner un ralentissement de l’économie des états d’Afrique Subsaharienne et de les fragiliser. Car, reposant essentiellement sur l’exportation des matières premières. Et non, sur un tissu de PME fortes et sur une consommation solide. Ceci, entraîne aussi une augmentation de la pauvreté car, au delà de créer de la richesse, les PME sont aussi des moteurs d’embauche.
La création des unités de crédit spécialisées dans le financement des PME au sein des banques locales apparaît comme l’une des solutions majeurs dans l’accès au financement des PME en Afrique Subsaharienne. Car, au delà de proposer des financements aux promoteurs des PME locales, elles étudieraient aussi leurs dossiers de financement au cas par cas. Et apporteraient aussi des conseils à ces dernières, concernant la gestion des ressources qui leur ont été alloué.
La mise sur pied, des centrales de risque par les différents états d’Afrique Subsaharienne apparaît comme une solution primordiale pour l’accès au financement des PME en Afrique Subsaharienne. Ces dernières permettraient de juguler l’asymétrie d’information qui règne entre banquier et entrepreneur. Ceci, en permettant d’avoir une traçabilité des PME avec une performance régulière et de qualité ; et par conséquent permettraient d’améliorer de façon considérable les processus de traitement des dossiers de financement des PME en Afrique Subsaharienne.
La multiplication des intermédiaires entre banquiers et entrepreneurs, apparaît aussi comme l’un des principaux piliers dans l’amélioration des relations banquiers et entrepreneurs en Afrique Subsaharienne. Ceci, consisterait en un partage de risque entre les institutions locales ayant une meilleure connaissance du marché du financement des PME en Afrique Subsaharienne (ONG, Associations, établissements de micro finance et autres…) et les banques locales. Cette méthode a fait ses preuves, notamment au Ghana avec le partenariat entre la Bank Of Ghana et les associations de SUSU COLLECTORS.
La création, d’incubateurs d’entreprises par les différents états d’Afrique Subsaharienne permettrait à nos entrepreneurs de bien mûrir leurs projets d’entreprises. Et d’en cerner tous les contours avant de les mettre sur le marché. Ce qui entraînerait l’émergence d’un tissu de PME fortes en Afrique Subsaharienne et compétitives.
L’amélioration du climat des affaires en Afrique Subsaharienne est fondamentale, dans le processus d’accès au financement des PME en ASS. Ceci ayant pour but, d’entraîner une attraction des I.D.E en ASS et de mieux protéger les porteurs de financement pour les PME. Car, ces derniers se sentent très souvent lésées lors des différents juridiques qui les opposent aux promoteurs de PME locales.
Voilà,ce qui concerne notre modeste contribution relative au financement des PME en Afrique subsaharienne.
Frédéric Betta-Akwa
Voilà,ce qui concerne notre modeste contribution relative au financement des PME en Afrique subsaharienne.
Frédéric Betta-Akwa
Inscription à :
Articles (Atom)