mercredi 29 juillet 2015

LE CARACTERE CRUCIAL DU BONHEUR.

En tant qu'entrepreneur, vous êtes appelé à faire face à des hauts  et à des bas tout au long de votre parcours entrepreneurial.Ces différentes étapes,  qu'elles soient positives ou négatives, ne doivent jamais affecter votre bonheur.




Vous vous devez d'être, inconditionnellement heureux.

Votre bonheur, ne doit en aucun cas dépendre de vos échec ou de vos réussites.

Vous devez apprendre, à apprécier chaque instant de votre vie.Que ces derniers, aillent dans le sens de vos objectifs ou pas. 

Vous devez apprendre, à mettre une cloison entre votre vie professionnelle et votre vie privée.

Vous devez apprendre, à accepter les échecs.Ils font parties intégrantes de votre voyage.

Vos échecs doivent vous servir de tremplin.Et non, de facteur limitant.

Vous devez avoir, une vie en dehors de votre entreprise.Cela, vous permettra de lâcher prise.Et donc, de mieux appréhender les situations auxquelles vous faite face.

Vous devez apprendre à vous remettre en question,à regarder autour de vous, à respirer...Et à vous dire que la vie est belle...

Vous devez apprendre, à cultiver votre résilience.Cela peut se faire via, la pratique d'un sport de votre choix.

Vous vous devez, d'avoir une vie spirituelle.Cela, vous permettra de mieux faire face à vos difficultés quotidiennes et de relativiser.

Sans la recherche du bonheur, vous deviendrez esclave de vos rêves.Donc, un être profondément malheureux.

Les rêves n'ont pas pour but, de vous détruire...Mais au contraire,de vous aider à accomplir votre plein potentiel.Donc, d'être un homme ou une femme profondément épanouie.

L'on a souvent tendance à se demander, ce qu'est le bonheur?

N'avez-vous jamais ressentie l'espace de quelques secondes la sensation d'être apaisé,léger,libéré de tout poids?

En fait, le bonheur est un idéal vers lequel nous tendons.Et être à sa recherche,c'est déjà l'avoir trouvé.

Voilà,ce qui concerne notre modeste contribution relative au caractère crucial du bonheur.


Frédéric Betta-Akwa

samedi 18 juillet 2015

LE POUVOIR DE L'ECHEC.

La plupart des gens n'osent pas poursuivre leurs rêves par peur de l'échec.Mais sans échec,serions-nous apte à pouvoir savourer une victoire?L'ampleur de nos échecs n'est-il pas à la hauteur de nos victoires à venir?





A mon humble avis,au lieu d'être perçu comme un facteur limitant; l'échec devrait être considérer comme un catalyseur de succès.

C'est grâce, à l'échec que nous nous remettons en question ainsi que nos rêves.

Sans échec, serait-il possible d'atteindre l'excellence?Je ne crois pas...

Le succès n'est-il pas réservé au plus méritant?Qu'en serait-il sans échec.

Il est grand temps, que nous instaurions la culture de l'échec au sein de nos sociétés.

Il  est grand temps, que ceux qui échouent ne soient plus perçus comme des minables ou des vauriens...

Je ne parle pas ici d'échec pour l'échec.Mais de l'échec comme tremplin,comme moteur, comme élément de remise en question.

Y'a t-il un succès véritable et périn sans échec?

Echec et succès ne vont-ils pas de paire?

Quelle serait, la valeur de la lumière sans l'existence des ténèbres?

Il est grand temps, que nous changions le prisme sous lequel nous percevons l'échec.

Ceux qui échouent, ne doivent plus être considérer comme des pestiférés.Mais comme ceux dont on gagnerait à apprendre...

Comment pouvons-nous, bâtir des sociétés résilientes sans la culture de l'échec?

Echec et innovation ne vont-ils pas de paire?


Humilité et échec ne vont-ils pas ensemble?

Il est grand temps que nous apprenions, à percevoir la vie sous le prisme de nos rêves.Et non, sous celui de l'échec et par conséquent de nos peurs.

Voilà,ce qui concerne notre modeste contribution relative au pouvoir de l'échec.


Frédéric Betta-Akwa

jeudi 2 juillet 2015

MOBILE PHONE IN SUB-SAHARAN AFRICA.

Sub-Saharan Africa remains the most dynamic region in the world in terms of growth and impact of mobile telephony underlines, a report published by the association of mobile operators (GSMA).


Between 2007 and 2012 the number of subscribers to mobile phone services south of the Sahara increased 18% on average each year.Whether, the best performance in the world according to the report entitled "Mobile Economy Saharan Africa in 2013".


In June 2013, the region had 253 million unique subscribers to telephone services mobile.Whether, a penetration rate of 31% and 502 million subscription (single SIM cards). Against, 105.2 million and 165.6 million respectively in 2007.


In 2015, 138 million mobile users in Africa do not have access to a public grid!


In 2017, SSA should have 346 million subscriber unique.Soit, a penetration rate of 37.6%.



  • Economic impact



According to GSMA, which includes 800 mobile operators around the world, the mobile industry accounts for 3.3 million jobs in the region and 6.3% of the GDP in sub-Saharan Africa 2012.Against, 4% in Latin America and just 1.4% in the Asia Pacific region.


According to forecasts of GSMA, the mobile industry is expected to account for 8.2% of sub-Saharan Africa's GDP in 2020.


In 2012, mobile telephone operators active in SSA have brought $ 21 billion to the coffers of the states of the sector's contribution region.The expected to double by 2020 to represent 6.6 million employees and $ 42 billion public recipe.



  • The consumer smartphones



The penetration of smartphones will increase exponentially over the next five years.Today the equipment rate is already 13% .This market is boosted of course, by the arrival of low-cost smartphones (from China ) and massive investments in telecom networks.

With a lack of infrastructure, the vast majority of Africans do not have access to électricity.Consequence: more people have mobile phones than have access to electricity.



  • The mobile banking


In this region that registers the lowest rate of banking globally, 12% of adults have a bank account by telephone mobile.Whether, only 2% globally according to the report "Global Findex 2014".Thanks to this strong breakthrough of mobile banking overall rate of banking in Africa rose from 24% in 2011 to 34% in 2014. The Kenya leads with 58% of account holding rate telephone against, of rates approximately 35% for Tanzania and Uganda.


Thirteen countries in the region show a penetration rate of bank accounts by phone 10% or more.


In Côte d'Ivoire, Somalia, Tanzania, Uganda, and Zimbabwe, There are now adult advantage of using a bank account by telephone that an account with a financial institution.

In Kenya, more than half of adult pay their utility bills by phone portable.In Tanzania, nearly a quarter of those receiving payments from the sale of agricultural products receive the funds on account by phone.


Sub-Saharan Africa 48% of adults issuers and beneficiaries of sending domestic funds.If payments related to domestic remittances were made to bank accounts rather than counters of money transfer agents, on behalf of detention rate could double in Senegal, Cameroon, the Democratic Republic of Congo and the Republic Congo.


The report "Global Findex 2014" is also highlighted that the percentage of adults with bank accounts increased from 51% to 62% globally between 2011 and 2014.This trend is explained by the increase 13 percentage points of the bank account holding rate in developing countries and the role of technology.


The report indicates, however there is still work to do to expand financial inclusion for women and the poorest.More than half of adults from 40% of the poorest households in developing countries still had no bank account in 2014.We also notes that the gap between men and women in terms of custody account Bank has not really narrowed .In 2011, 47% of women and 54% of men had an account against 58% and 65% respectively in 2014.



  • The challenges of the transition to LTE/4G



The world map of the penetration of 4G / LTE in the world (above) shows that this new generation network is starting up in Africa with about 0.05% of connections.The potential is enormous on the continent where the fixed internet access network is one of the lowest in the world.But for successful changeover to the mobile Internet, African countries must build high-performance speed infrastructures and shared between different mobile service operators (national and regional infra backbone fiber optic high points of networks and infrastructures ... ).


These weaknesses are, however, major assets for a strong growth of the sector in the years to venir.GSMA notes, indeed, that the adoption of mobile broadband could increase GDP in the region of 197 billion additional dollars between 2015 2020.And help create employment almost 16 million.


"The mobile industry has already transformed societies and sub-Saharan African economy, but there's still room for the benefit of growth and innovation if the right conditions," summarizes Tom Philips , head of regulatory affairs within GSMA.Adding: "in addressing key regulatory concerns, policymakers in the region have a major opportunity to unlock the potential of a dynamic Africa and interconnected."


That respect, our modest contribution on the mobile phone in SSA.


Frédéric Betta-Akwa

LA TELEPHONIE MOBILE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE.

L'Afrique subsaharienne reste la région la plus dynamique au monde en matière de croissance  et d'impact de la téléphonie mobile souligne, un rapport publié par l'association des opérateurs mobiles (GSMA).

Entre 2007 et 2012, le nombre d'abonné aux services  de téléphonie mobile au sud du sahara a augmenté de 18% en moyenne chaque année.Soit, la meilleure performance au monde selon ce rapport intitulé:"Economie mobile en Afrique subsaharienne 2013".

En Juin 2013, la région comptait 253 millions d'abonnés uniques aux services de téléphonie mobile.Soit, un taux de pénétration de 31% et 502 millions d'abonnement (cartes SIM uniques). Contre, 105,2 millions  et 165,6 millions respectivement en 2007.

En 2015, 138 millions d'utilisateurs du mobile en Afrique n'auront pas accès à un réseau  électrique  public!

En 2017, l'Afrique subsaharienne devrait compter 346 millions d'abonné unique.Soit, un taux de pénétration de 37,6%.


  • Impact économique.


Selon GSMA, qui regroupe 800 opérateurs de téléphonie mobile à travers le monde, l'industrie  mobile représente 3,3 millions d'emplois  dans la région  et 6,3% du PIB de l'Afrique subsaharienne en 2012.Contre, 4% en Amérique latine et à peine 1,4% dans la région Asie pacifique.

Selon des prévisions de GSMA, l'industrie mobile devrait représenter 8,2% du PIB de l'Afrique subsaharienne en 2020.

En 2012, les opérateurs de téléphonie mobile actifs en Afrique subsaharienne ont apporté  21 milliards de dollars aux caisses des états de la région.La contribution du secteur devrait doubler d'ici à 2020 pour représenter 6,6 millions de salariés et 42 milliards de dollars de recette publique.



  • La consommation des smartphones.


La pénétration du smartphone va augmenter de façon exponentielle au cours des cinq prochaines années.Aujourd'hui, le taux d'équipement est déja de 13%.Ce marché est dynamisé bien entendu, par l'arrivée des smartphones à faible coût (de Chine) et les investissements massifs dans les réseaux télécoms.

Avec un manque d'infrastructure, la grande majorité des africains n'ont pas accès à l'électricité.Conséquence:d'avantage de personne ont un téléphone mobile qu'un accès à l'électricité.



  • Le mobile banking


Dans cette région qui enregistre les taux les plus bas de bancarisation à l'échelle planétaire, 12% des adultes possèdent un compte bancaire par téléphonie mobile.Contre, seulement 2% à l'échelle mondiale selon le rapport "Global Findex 2014".Grâce, à cette forte percée du mobile banking le taux  global de bancarisation en Afrique est passé de 24% en 2011 à 34% en 2014.Le Kenya arrive en tête avec 58% de taux de détention de compte par téléphone contre, des taux d'environ 35% pour la Tanzanie et l'Ouganda.

Treize pays de la région affichent un taux de pénétration des comptes bancaires par téléphone  de 10% ou plus.

En Côte d'ivoire , en Somalie, en Tanzanie, en Ouganda, et au Zimbabwe, il y'a aujourd'hui d'avantage d'adulte qui utilise un compte bancaire par téléphone qu'un compte auprès d'une institution financière.

Au Kenya,plus de la moitié des adultes règlent leurs factures de services publics par téléphone  portable.En Tanzanie, près d'un quart  des personnes recevant des paiements au titre de la vente de produits agricoles  reçoivent les fonds sur compte par téléphone.

En Afrique subsaharienne, 48% des adultes sont émetteurs et bénéficiaires d'envoi de fonds intérieurs.Si les paiements liés aux envois de fonds intérieurs étaient effectués sur des comptes bancaires plutôt qu'aux guichets des agents de transfert d'argent, le taux de détention  de compte pourrait doubler au Sénégal,au Cameroun, en République démocratique du Congo et en République du Congo.

Le rapport "Global Findex 2014" fait par ailleurs ressortir que le pourcentage d'adultes ayant un compte en banque est passé de 51% à 62% à l'échelle mondiale entre 2011 et 2014.Une tendance qui s'explique, par la hausse de 13 points de pourcentage du taux de détention de compte bancaire  dans les pays en développement et par le rôle de la technologie.

Le rapport indique, cependant qu'il reste encore des efforts à faire pour étendre l'inclusion financière aux femmes et aux ménages les plus pauvres.Plus de la moitié  des adultes issus des 40% de ménage les plus pauvres  dans les pays en développement n'avaient toujours pas de compte en banque en 2014.On constate par ailleurs que l'écart entre hommes et femmes en termes de détention de compte bancaire  ne s'est pas vraiment resserré .En 2011, 47% de femme et 54% d'homme détenait un compte contre 58% et 65% respectivement en 2014.      


  • Les enjeux du passage à la LTE/4G  






La carte mondial de la pénétration de la 4G/ LTE dans le monde (ci-dessus) montre que cette nouvelle génération de réseau est en phase de démarrage sur le continent africain avec environ 0.05% des connexions.Le potentiel est donc énorme sur le continent où le réseau d'accès fixe internet est l'un  des plus faible au monde.Mais pour réussir  le basculement à l'internet mobile,les pays  africains doivent construire des infrastructures très haut débit performants et partagés  entre les différents opérateurs de service mobile (backbone nationaux et infra régionaux en fibre optique ,réseaux et infrastructures de points hauts...).

Ces faiblesses sont cependant, des atouts majeurs pour une très forte croissance du secteur dans les années à venir.GSMA note, en effet, que l'adoption du haut débit mobile pourrait accroître le PIB  de la région  de 197 milliards de dollars  supplémentaires entre 2015 et 2020.Et contribuer à créer près de 16 millions d'emploi.

"L'industrie du mobile a déja transformé les sociétés et les économie de l'Afrique subsaharienne, mais il y'a encore de la place pour d'avantage de croissance et d'innovation si les bonnes conditions sont réunies", résume Tom Philips, responsable des affaires règlementaires  au sein de GSMA.Et d'ajouter:"En répondant aux préoccupations règlementaires clés,les décideurs politiques de la région ont une opportunité majeure pour débloquer le potentiel d'une Afrique dynamique et interconnectée".


Voilà ce qui concerne, notre modeste contribution relative à la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne.


Frédéric Betta-Akwa