A mon humble avis,au lieu d'être perçu comme un facteur limitant; l'échec devrait être considérer comme un catalyseur de succès.
C'est grâce, à l'échec que nous nous remettons en question ainsi que nos rêves.
Sans échec, serait-il possible d'atteindre l'excellence?Je ne crois pas...
Le succès n'est-il pas réservé au plus méritant?Qu'en serait-il sans échec.
Il est grand temps, que nous instaurions la culture de l'échec au sein de nos sociétés.
Il est grand temps, que ceux qui échouent ne soient plus perçus comme des minables ou des vauriens...
Je ne parle pas ici d'échec pour l'échec.Mais de l'échec comme tremplin,comme moteur, comme élément de remise en question.
Y'a t-il un succès véritable et périn sans échec?
Echec et succès ne vont-ils pas de paire?
Quelle serait, la valeur de la lumière sans l'existence des ténèbres?
Il est grand temps, que nous changions le prisme sous lequel nous percevons l'échec.
Ceux qui échouent, ne doivent plus être considérer comme des pestiférés.Mais comme ceux dont on gagnerait à apprendre...
Comment pouvons-nous, bâtir des sociétés résilientes sans la culture de l'échec?
Echec et innovation ne vont-ils pas de paire?
Humilité et échec ne vont-ils pas ensemble?
Il est grand temps que nous apprenions, à percevoir la vie sous le prisme de nos rêves.Et non, sous celui de l'échec et par conséquent de nos peurs.
Voilà,ce qui concerne notre modeste contribution relative au pouvoir de l'échec.
Frédéric Betta-Akwa
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire