mardi 18 août 2015

DOES AFRICA'S FUTURE REST ON "TECH-PRENEURS"?

To the question if the fate of Africa rests on the "tech-takers", I would say: no.

The African continent is not yet gone through all the necessary stages of development, so that technologies are central to its future emergence.

Take the case of the US, Europe and some Asian countries which are technological innovation poles.These regions of the world, are first passed by economic change in which they were investing heavily in key sectors such as education, health, transport, housing, tourism, trade, research...Before you can access advanced technologies.That appear as the ultimate phase of development of economies have reached their saturation cycle.

How do we explain then the craze of young African as well as, foreign investors in the place of this industry if not, by imitation?

It is very unlikely that Africa docks advanced technologies, if the basic needs of its people are not satisfied.

To date, Africa has more need to develop sectors such as energy and agriculture that can create thousands or millions of jobs for its young people (15- 25) mainly, unemployed or underemployed (grants our article on youth unemployment in Africa).She did not need to see the emergence of Amazon, Ebay, Alibaba Uber or the African all kinds ...Which are products or services to regions of the world that have achieved a certain standard of living.

Well, regarding our modest relative contribution to the question:The future of Africa it based on "tech-takers".


Frédéric Betta-Akwa

L'AVENIR DE L'AFRIQUE REPOSE T-IL SUR LES "TECH-PRENEURS" ?

A la question de savoir, si le destin de l'Afrique repose sur les "tech-preneurs", je dirais:Non.

Le continent africain,n'est pas encore passé par toutes les phases de développement nécessaire, pour que les technologies soient au centre de son émergence future.

Prenons, le cas des USA,de l'Europe ainsi que de certains pays d'Asie qui sont, des pôles d'innovation technologique.Ces régions du monde,sont d'abord passées par des mutations économiques au cours desquelles, elles investissaient massivement dans les secteurs clés tels que:l'éducation,la santé,les transports,le logement,le tourisme,le commerce,la recherche...Avant,de pouvoir accéder aux technologies de pointe.Qui apparaissent comme, la phase de développement ultime des économies ayant atteint leur cycle de saturation.

Comment expliquons-nous alors,l'engouement des jeunes africains ainsi que celui, des investisseurs étrangers à l'endroit de ce secteur d'activité si ce n'est, par mimétisme?

Il est très peu probable,que l'Afrique s'arrime aux technologies de pointe, si les besoins primaires de ses populations ne sont pas satisfaits.

Au jour d'aujourd'hui,l'Afrique a plus besoin de développer des secteurs d'activité tels que:l'énergie et l'agriculture qui peuvent, créer des milliers voir des millions d'emploi pour ses populations jeunes (15-25 ans) majoritairement, au chômage ou sous-employé (cf.notre article sur le chômage des jeunes en Afrique).Elle n'a pas besoin de voir,l'émergence d'Amazone,Ebay,Alibaba ou Uber à l'africaine en tout genre...Qui sont,des produits ou des services destinés aux régions du monde ayant atteint un certains niveau de vie.


Voilà,ce qui concerne notre modeste contribution relative, à la question de savoir:L'avenir de l'Afrique repose t-il sur les "tech-preneurs".


Frédéric Betta-Akwa

vendredi 14 août 2015

THE CHARACTERISTICS OF AN ENTREPRENEUR.

Define, an entrepreneur is generally some-thing very difficult.Throughout this article, i will strive to bring out the traits that i believe characterize an entrepreneur.


  • The dream 
Generally, all entrepreneurs are motivated by a deep dream.It is this dream that comes their entrepreneurial adventure.


  • Passion 
It is the engine of every entrepreneur.Without it, dreams do not become reality.


  • Work 
It is one, among the characteristics every entrepreneur.And it is thanks to him that moves the lines.


  • The vision 
It is this which allows to project into the future and to sniff an opportunity.


  • Questioning 
There are not, major innovation without ever calling into question of oneself and the world around us.


  • Resilience 
It is the strong link in the success of an entrepreneur.Without determination and perseverance, nothing great is done in this world.


  • Leadership 
Any good contractor should be able to unite the energies necessary around his project.


  • Responsibility 
Be successful and a lot of people who have their eyes on you, requires a great sense of responsibility.


So, regarding our modest contribution relative to the characteristics of an entrepreneur.


Frédéric Betta-Akwa

LES CARACTERISTIQUES D'UN ENTREPRENEUR.

Définir, un entrepreneur est généralement quelque-chose de très difficile. Tout au long de cet article, je m'évertuerai à faire ressortir les traits qui selon moi, caractérisent un entrepreneur.


  •  Le rêve 
Généralement,tous les entrepreneurs sont animés par un rêve profond.C'est de ce rêve,que naît leur aventure entrepreneuriale.


  •  La passion 
Elle est le moteur,de tout entrepreneur.Sans elle, les rêves ne deviennent guère réalité.


  • Le travail 
Il est l'une, des caractéristiques chez tout entrepreneur.Et c'est grâce à lui,que bouge les lignes.


  • La vision 
C'est elle qui permet, de se projeter dans l'avenir et de flairer une opportunité.


  • Le questionnement 
Il n'y'a pas, d'innovation majeur sans une remise en question perpétuelle, de soi-même et du monde qui nous entoure.


  • La résilience 
Elle est le maillon fort de la réussite d'un entrepreneur.Sans détermination et persévérance, rien de grand ne se fait dans ce monde.


  • Le leadership 
Tout bon entrepreneur devrait pouvoir,fédérer les énergies nécessaires autour de son projet.


  • La responsabilité 
Avoir du succès et tout un tas de personne qui ont les yeux rivés sur vous,nécessite un grand sens de la responsabilité.


Voilà,ce qui concerne notre modeste contribution relative aux caractéristiques d'un entrepreneur.


Frédéric Betta-Akwa

GROWTH IN SOUTH ASIA.

In South Asia, the outlook is for 2015 and 2016 broadly stable economy and an acceleration of growth, albeit with risks concentrated on the foreheads of fiscal and structural reforms.

The region is expected to record a real growth of 6% in 2015 and 6.4% in 2016, against 5.4% in 2014.This development could make South Asia the second region to experience the fastest growth in the world after the East Asia and the Pacific.



  • Risks
South Asia remains vulnerable as all regions of the developing world, the effects of tighter monetary policy in a US economy on track to redressement.And to stagnation in the weaker countries of the Euro Zone .


  • INDIA 
The Indian economy, which represents 80% of production in this region is expected to grow by 6.4% during the 2015/2016 financial year after an increase of 5.6% during the 2014/2015 financial year.This stimulus is due to "the Modi effect" appears to be a real hope for the Indian nation.

Economic growth should benefit from the recovery in the US economy that would constitute a market for exports of Indian products and services.

Private investment should be accelerated because of the option in favor of the companies taken by the government sector.And the decline of oil prices should give a boost to the competitiveness of the private sector.


  • PAKISTAN 
In the second largest economy in the region, it is the question of whether the recent political unrest has undermined investor confidence and weakened ducoup growth prospects.The losses associated with these disorders are estimated at 2.1% of GDP in the short term.Growth is when with it, estimated at 4.4% this year against 4.1% for the previous year.


  • BANGLADESH 
It should register 6.2% growth under the 2014/2015 financial year.For reviving political stability and a new policy focused on growth.

So, regarding our modest relative contribution to growth in South Asia.


Frédéric Betta-Akwa

LA CROISSANCE EN ASIE DU SUD.

En Asie du Sud,les perspectives laissent entrevoir pour l'année 2015 et 2016 une économie globalement stable et une accélération de la croissance,quoi qu'avec des risques concentrés sur le front des réformes budgétaires et structurelles.

La région devrait enregistrer, une croissance réelle de 6% en 2015 et 6,4% en 2016,contre 5,4% en 2014.Cette évolution, pourrait faire de l'Asie du Sud la deuxième région à connaître la croissance la plus rapide au monde après, l'Asie de l'Est et du Pacifique.



  • Risques
L'Asie du Sud, reste vulnérable comme toutes les régions du monde en développement, aux effets du resserrement de la politique monétaire d'une économie américaine en voie de redressement.Et à la stagnation, dans les pays les plus faibles de la Zone Euro.


  • L'Inde
L'économie indienne,qui représente 80% de la production de cette région,devrait croître de 6,4% au cours de l’exercice 2015/2016 après, une hausse de 5,6% durant l’exercice 2014/2015.Ce stimulus, est dû à "l'effet Modi" qui apparaît comme un véritable espoir pour la nation indienne.

La croissance économique devrait, profiter du redressement de l'économie américaine qui constituerait, un marché pour les exportations de produits et de services indiens.

L'investissement privé devrait, s'accélérer en raison de l'option en faveur du secteur des entreprises pris par le gouvernement.Et la baisse, du cours du pétrole devrait donner un coup de fouet à la compétitivité du secteur privé.


  • Le Pakistan 
Pour la deuxième plus grande économie de la région,il se pose la question de savoir si les troubles politiques récents ont sapé la confiance des investisseurs et affaibli ducoup les perspectives de croissance.Les pertes liés à ces troubles, sont estimées à 2,1% du PIB sur le court terme.La croissance est quand à elle, estimée à 4,4% pour cette année contre, 4,1% pour l'année précédente.


  • Le Bangladesh 
Il devrait enregistrer, 6,2% de croissance au titre de l'exercice 2014/2015.Car,renouant avec la stabilité politique et une politique de nouveaux axée sur la croissance.

Voilà, ce qui concerne notre modeste contribution relative, à la croissance en Asie du Sud. 


Frédéric Betta-Akwa

mercredi 12 août 2015

GROWTH IN EAST ASIA AND PACIFIC.

The East Asia and Pacific region is the main engine of global growth since the start of the international financial crisis.And this trend should remain stable except turning extraordinary situation.

This economic dynamism in the region is explained by stronger global growth already observed in 2014.

The growth rates in East Asia projected to be between 7.1% and 7.3% or less in 2015.Despite, a slowdown from the average growth rate of 8% for 2009-2013.

Chinese growth to when it should observe a slight decrease from 7.7% to 7.6% (see our previous article on the Chinese growth).

Some risks could nevertheless affect these regional forecasts.For example, a slower than expected economic recovery in developed countries, higher prices for interest rates and increased volatility in commodity prices resulting from recent geopolitical tensions in Eastern Europe, remind us that Asia East remains vulnerable to the vagaries of the international situation.

By cons, as we have seen with the gradual withdrawal of easing from the Federal Reserve in 2013, the East Asian countries manage to overcome external shocks, such as a possible reversal of capital flows, thanks to the flexibility of their regimes change.They also feature mostly sufficient reserves to withstand temporary commercial and external shocks.

To maintain a high growth rate in the longer term, the East Asian developing countries should redouble their efforts to pursue structural reforms in order to strengthen their latent potential growth and market confidence.

Structural reforms are essential to reduce vulnerabilities and ensure long-term sustainable growth.

China has already initiated a series of reforms in finance, market access, mobility of labor and taxation in order to increase the efficiency of growth and boost demand interior.Over time, these measures will sit the economy on a more stable basis, more inclusive and sustainable.Some initiatives already announced by the government as a tax reform and reduction of barriers to private investment, could also stimulate short-term growth.

If they are successful, the reforms in China could have tremendous positive effects on trading partners that supply in agricultural products, consumer goods and modern services.However, a disorderly adjustment of the Chinese economy would have negative impacts on regional and global growth, particularly in countries dependent on natural resource exports.


So, regarding our modest contribution relative to growth in East Asia and the Pacific.


Frédéric Betta-Akwa

LA CROISSANCE EN ASIE DE L'EST ET DU PACIFIQUE.

La région Asie de l'Est et Pacifique est le principal moteur de la croissance mondiale depuis le début de la crise financière internationale.Et cette tendance, devrait rester stable sauf retournement  de situation extraordinaire.

Ce dynamisme économique dans la région s'explique, par un raffermissement de la croissance mondiale déjà observé en 2014.

Les taux de croissance en Asie de l'Est devrait s'inscrire entre 7,1% et 7,3% au maximum en 2015.Malgré, un ralentissement par rapport au taux de croissance moyen de 8% pour la période 2009-2013.

La croissance Chinoise quand à elle, devrait observer une légère baisse passant de 7,7% à 7,6% (cf. notre précédent article sur la croissance Chinoise).

Certains risques pourraient néanmoins, affecter ces prévisions régionales.Par exemple, une reprise économique plus lente que prévue dans les pays développés, un renchérissement des taux d'intérêt et une volatilité accrue des prix des matières premières résultant des tensions géopolitiques récentes en Europe de l'Est, nous rappellent que l'Asie de l'Est reste vulnérable aux aléas de la conjoncture internationale.

Par contre, comme on a pu le constater avec le retrait progressif des mesures d'assouplissement de la réserve fédérale en 2013, les pays d'Asie de l'Est parviendront à surmonter les chocs extérieurs,comme une possible inversion des flux de capitaux, grâce à la flexibilité de leurs régimes de change.Ils disposent en outre pour la plupart,   de réserve suffisante pour supporter des chocs commerciaux et extérieurs temporaires.

Pour conserver un taux de croissance élevé à plus long terme, les pays en développement d'Asie de l'Est devront redoubler d'efforts pour poursuivre les réformes structurelles afin, de renforcer leur potentiel de croissance latent et la confiance des marchés.

Les réformes structurelles sont essentielles pour réduire les vulnérabilités et assurer une croissance soutenable à long terme.

La Chine, a déjà engagé une série de réforme en matière de finance,d'accès aux marchés, de mobilité de la main d'oeuvre et de fiscalité, dans le but d'accroître l'efficacité de la croissance et de stimuler la demande intérieure. Au fil du temps, ces mesures permettront d'asseoir l'économie sur des bases plus stables,plus solidaires et plus durables.Certaines initiatives déjà annoncées par les pouvoirs publics, comme une réforme fiscale et la réduction des barrières à l'investissement privé, pourraient également stimuler la croissance à court terme.

Si elles sont couronnées de succès,les réformes en Chine pourraient avoir d'énormes effets positifs sur les partenaires commerciaux qui l'approvisionnent en produits agricoles,biens de consommation et services modernes.En revanche, un réajustement désordonné de l'économie chinoise aurait des retombées néfastes sur la croissance régionale et mondiale,particulièrement dans les pays tributaires des exportations de ressources naturelles.

Voilà, ce qui concerne notre modeste contribution relative à la croissance en Asie de l'Est et du Pacifique.

Frédéric Betta-Akwa

lundi 10 août 2015

INTRA-AFRICAN TRADE.

According to the World Bank, 75% of intra-African trade is provided by five countries: Ghana, Ivory Coast, Nigeria, Kenya, Zimbabwe.It is vital, for African states to remedy this situation at the earliest promptly.If the latter, to achieve their development objectives in the short, medium and long term.




  • Barriers to intra-african trade

Because of their colonial past, African states are more likely to share a business perspective, with their former colonies rather than between them.

For example, the first economic partner of Cameroon is France.While, that of Nigeria is the Great Britain.While geographically, these two nations are better able to share with each other, than with any other nation or region of the world.But misconduct, appropriate infrastructure and political will, the bulk of the production of these two states (80%) is exported to Europe, China, and the USA.

We can also note that, the absence of industry capable of transforming African commodities in manufactured product, is a great hindrance to intra-regional trade.For though it be said, for there to trade between African states of the same subregion or vice versa; he must have a good or product exchange and preferably manufactured .


  • How to facilitate intra-african trade?

The first step in the effective implementation of the free trade agreements adopted within the different African sub-regions (CEMAC, ECOWAS ...).Because they exist so far, that a theoretical way.And are not applied in everyday life.

Secondly, it is important to launch the construction of transport infrastructure at the local and sub-regional level.In order, to facilitate the movement of goods and persons, places of production to the local or sub-regional consumer markets ( grants our previous article, on the infrastructure deficit in Africa).This would help, to reduce the cost of the supply chain in Africa, which is the highest in the world.And that is a real barrier, to foreign investment.

This is what concerns, our modest contribution relative to intra-African trade.


Frédéric Betta-Akwa

LE COMMERCE INTRA-AFRICAIN.

Selon la Banque Mondiale, 75% du commerce intra-africain est assuré par 5 pays:Ghana,Côte d'Ivoire,Nigéria,Kenya,Zimbabwe.Il est donc vital, pour les états africains de remédier à cet état de fait dans les plus brefs délais.Si ces derniers, veulent atteindre leurs objectifs de développement à court, moyen et long terme.





  • Les entraves au commerce intra-africain.
Du fait de leur passé colonial, les états africains sont plus enclins à échanger d'un point de vue commercial, avec leurs anciennes colonies qu'entre eux.

Par exemple, le premier partenaire économique du Cameroun c'est la France.Tandis que, celui du Nigéria c'est la Grande Bretagne.Alors que géographiquement parlant, ces deux nations sont plus aptes à échanger l'une avec l'autre, qu'avec toute autre nation ou région du monde.Mais faute, d'infrastructure adapté et de volonté politique,l'essentiel de la production de ces deux états (80%) est exportée vers l'Europe, la Chine et les USA.

Nous pouvons aussi noter que, l'absence d'industrie capable de transformer les produits de base africain en produit manufacturé, est un grand frein au commerce intra-régional.Car quoi que l'on dise,pour qu'il y'ai échange commercial entre les états africains d'une même sous-région ou vice-versa;il faut qu'il y'ai un bien ou un produit à échanger et de préférence manufacturé.


  • Comment faciliter le commerce intra-africain?
La première étape consisterait, en la mise en oeuvre effective des accords de libre échange adopté au sein des différentes sous-régions africaines (C.E.M.A.C,CEDEAO...).Car, ces derniers n'existent jusqu'ici, que d'une manière théorique.Et ne sont nullement, appliqués dans la vie quotidienne.

Dans un second temps, il serait important de lancer la construction des infrastructures de transport au niveau local et sous-régional.Afin, de faciliter la circulation des biens et des personnes, des lieux de production vers les marchés de consommation locaux ou sous-régionaux (cf.notre précédent article sur le déficit en infrastructure en Afrique).Cela permettrait, de réduire le coût de la chaîne logistique en Afrique, qui est le plus élevé au monde.Et qui, est un véritable obstacle pour les investissements étrangers.


Voilà ce qui, concerne notre modeste contribution relative au commerce intra-africain.


Frédéric Betta-Akwa

vendredi 7 août 2015

THE INFRASTRUCTURE DEFICIT IN AFRICA.

According to a series of assessments of African infrastructure made in 2006 by the African Development Bank (ADB) and the Consortium for Infrastructure in Africa (ICA):


  • In the poorest countries of Africa, fewer than one in five people has access to electricity
  • Only 56% have access to drinking water
  • Barely a third of rural residents living near a road
  • Only 4% of Africa's agricultural land is irrigated
  • Over 60% of the population lacks basic sanitation

The existing infrastructure in sub-Saharan Africa are not only insufficient compared to needs, notes a detailed analysis of the World Bank entitled: Diagnostic study of national infrastructure in Africa.But their development has considerably behind that of other poor  regions.Africa has less than a quarter of kilometers of paved roads compared to other developing regions.And approximately one eighth of their electrical generating capacity per capita.


  • The energy deficit
According to the ADB, the 1.5 billion people who live without electricity in the world, 80% live in sub-Saharan Africa.A study by the World Bank published in 2010 stressed that "the 48 countries of sub-Saharan Africa (800 million people) generate roughly the same amount of power as Spain (45 million)."The energy infrastructure deficit is all the more a handicap that the low level of access to energy, and more significant impact on the economic competitiveness of local companies, is almost always related to a health service deficiency and education for the population.


  • The transportation deficit
The capacity of the port infrastructure is often in short of needs.The port of Bissau, for example, lung's economy, now receives about 30,000 containers per year.While it was originally built to receive 5,000.And one could almost say the same of the port of San Pedro in Côte d'Ivoire or that of Dakar, Senegal.On the other hand, lack of road and rail makes it difficult the connection between the places of production and consumption markets.Making it difficult intra-African trade which accounts for the fact that about 10% of total African exports.

  • Water deficit and assainissment
Upgrading treatment systems, supply and distribution of potable water, household access to sanitation facilities as well as waste management are major concerns for urban populations.

  • The impact of growth on infrastructure needs
Between 2001 and 2010, Africa has recorded an average growth rate of GDP of 5.2% an.A trend expected to continue over the coming decades.




As the PIDA which the projections on the need for Africa's infrastructure is based on a GDP growth forecast of 6% per year until 2040.This growth and sustainable prosperity will multiply the demand for infrastructure, the shortage is already one of the biggest obstacles to the development of the continent.

According to PIDA, the energy demand of about 590 terawatt hours (TWh) in 2010 would increase to 3100 TWh in 2040.This explosion in demand fueled by population growth and economic growth, require production capacity of 700GW.While the current capacity of the continent is around 125GW.

Furthermore, the volumes transported should be multiplied by 6 or 8 in most countries.Doing so, passed the port traffic of 265 million tonnes in 2009 to 2,000,000,000 in 2040.

In the same vein, the growing population of the continent in the coming decades and accelerating urbanization accentuate its infrastructure needs in African cities.


  • Reducing the deficit in african infrastructure
Delete this infrastructure deficit is a vital issue for Africa, but the cost will be high.The report of the UN Secretary General considers that over $ 52 billion of public and private investment will be needed annually to meet the backwardness of Africa in the field of infrastructure.According to the UN, this estimate includes an annual contribution of about $ 38 billion from donors, divided between the following areas:

  • Energy- $ 20 billion
  • Transport- $ 11 billion
  • Assainissement- water and 5.7 billion
  • Computers and Communications- $ 1 billion
The diagnostic study of national infrastructure in Africa cites a higher figure of about $ 75 billion per year distributed approximately equal share of the cost of opening new projects and the operation and maintenance of infrastructure.Approximately, one third of the existing infrastructure in Africa need to be repaired or renovate.And the proportion is even higher in rural areas and countries recovering from conflict.

The study estimates that this deterioration is a result of underinvestment in maintenance and over time represents a significant waste of resources.

The World Bank believes that management errors contribute to problem.The water distribution companies and African electricity collect only 70-90% of the amount of their bills.

Technical problems add to waste.For example, African distribution systems lose two times more current during transmission as more modern-loss systems that can annually reach 2% of GDP.The World Bank estimates that overall unpaid and wastage of water and electricity utilities cost annually $ 6 billion to African taxpayers who bear these losses.


So, regarding our modest contribution on the infrastructure deficit in Africa.




Frédéric Betta-Akwa

jeudi 6 août 2015

LE DEFICIT EN INFRASTRUCTURE EN AFRIQUE.

Selon une série d'évaluations des infrastructures africaines effectuées en 2006 par la Banque Africaine de Développement (BAD) et le consortium pour les infrastructures en Afrique (ICA):


  • Dans les pays les plus pauvres de l'Afrique, moins d'un habitant sur cinq a accès à l'électricité
  • 56% seulement  ont accès à de l'eau potable
  • A peine un tiers des habitants des régions rurales vivent à proximité d'une route
  • Seulement 4% des terres agricoles africaines sont irriguées
  • Plus de 60% de la population ne dispose pas d'équipements sanitaires de base  

Les infrastructures existantes de l'Afrique subsaharienne  sont non seulement insuffisantes par rapport a ses besoins, note une analyse détaillée de la Banque Mondiale intitulée:Etude diagnostique des infrastructures nationales en Afrique.Mais, leur développement a un retard considérable sur celui des infrastructures d'autres régions pauvres.L'Afrique a moins du quart des kilomètres de routes revêtues comparativement aux autres régions en développement.Et environ, un huitième de leur capacité de production électrique par habitant.
  • Le déficit énergétique
Selon la BAD, des 1,5 milliard de personnes qui vivent sans électricité dans le monde, 80% résident en Afrique subsaharienne.Une étude de la Banque Mondiale publiée en 2010 souligne que "les 48 pays d'Afrique subsaharienne (800 millions d'habitants ) génèrent plus ou moins, la même quantité d'électricité que l'Espagne (45 millions d'habitants)".Le déficit d'infrastructures énergétiques constitue d'autant plus, un handicap que le faible niveau d'accès à l'énergie, en plus des conséquences considérables sur la compétitivité  économique des entreprises locales, est presque toujours lié à une carence en services de santé et d'éducation pour les populations.

  • Le déficit en transport
La capacité des infrastructures portuaires est très souvent en deça des besoins.Le port de Bissau par exemple,poumon de l'économie du pays , reçoit aujourd'hui  environ 30.000 conteneurs par an.Alors qu'il a été initialement construit, pour en recevoir 5.000.Et on pourrait presque, en dire autant du port de San Pedro en Côte d'Ivoire ou de celui de Dakar au Sénégal.
D'autre part,le manque de route et de chemin de fer rend difficile la connexion entre les lieux de production et les marchés de consommation.Rendant ainsi, difficile le commerce intra-africain qui ne représente de fait qu'environ, 10% des exportations totales des pays africains.

  •  Le déficit en eau et en assainissement
La remise à niveau des systèmes de traitement,d'adduction et de distribution d'eau potable,l'accès des ménages aux ouvrages d'assainissement ainsi que, la gestion des déchets constituent des préoccupations importantes pour les populations en milieu urbain.


  • L'impact de la croissance sur les besoins en infrastructures
Entre  2001 et 2010, l'Afrique a enregistré un taux de croissance moyen du PIB de 5,2% par an.Une tendance qui devrait se poursuivre au cours des prochaines décennies.


Comme l'indique le PIDA dont, les projections sur les besoins en infrastructures de l'Afrique repose sur une hypothèse de croissance du PIB de 6% par an jusqu'en 2040.Cette croissance et cette prospérité durable vont multiplier la demande d'infrastructures dont, la pénurie est déja l'un des plus grands obstacles au développement du continent.

D'après le PIDA, la demande d'énergie de l'ordre de 590 Térawatts-Heure (Twh) en 2010, passerait à 3100 Twh en 2040.Cette explosion de la demande alimentée par l'essor démographique et la croissance économique, nécessiterait une capacité de production de 700GW. Alors que,la capacité actuelle du continent tourne autour de 125GW.

Par ailleurs, les volumes transportés devraient être multipliés par 6 ou 8 dans la plupart des pays.Faisant ainsi,passé le trafic portuaire de 265 millions de tonnes en 2009 à 2 milliards en 2040.

Dans la même optique,l'essor démographique du continent dans les prochaines décennies et l'accélération de son urbanisation accentueront les besoins en infrastructures dans les villes africaines.

  • Réduire le déficit en infrastructure
Supprimer ce déficit en infrastructures est donc une question vitale pour l'Afrique, mais le coût sera élevé.Le rapport du secrétaire générale des Nations Unies considère que plus de 52 milliards de dollars d'investissement publics et privés seront annuellement nécessaires pour combler le retard de l'Afrique dans le domaine des infrastructures.Selon l'ONU, cette estimation comprend une contribution annuelle d'environ 38 milliards de dollars de la part des bailleurs de fonds, répartie entre les secteurs suivants:

  • Energie- 20 milliards de dollars
  • Transports- 11 milliards de dollars
  • eau et assainissement- 5,7 milliards de dollars
  • Informatique et communications- 1 milliard de dollar
L'étude diagnostique des infrastructures nationales en Afrique cite un chiffre supérieur, d'environ 75 milliards de dollars par an répartis à parts sensiblement égales entre le coût de l'ouverture de nouveaux chantiers et celui du fonctionnement et de l'entretien des infrastructures.Environ, un tiers des infrastructures existantes en Afrique ont besoin d'être réparées ou rénovées.Et la proportion est encore plus forte dans les régions rurales et les pays qui se relèvent d'un conflit.
L'étude estime que cette détérioration est le résultat d'un sous-investissement dans les opérations d'entretien et représente au fil du temps un important gaspillage de ressource.
La Banque Mondiale juge que des erreurs de gestion contribuent au problème.Les sociétés de distribution d'eau et d'électricité africaines ne collectent  que 70 à 90% du montant de leurs factures.

Les problèmes techniques ajoutent au gaspillage.Par exemple, les réseaux de distribution africains perdent deux fois plus de courant pendant la transmission que des systèmes plus modernes-pertes qui peuvent atteindre annuellement 2% du PIB.La Banque Mondiale estime que globalement, impayés et gaspillages de compagnies d'eau et d'électricité coûtent chaque année 6 milliards  de dollars aux contribuables africains qui doivent assumer ces pertes.




Voilà, ce qui concerne notre modeste contribution relative au déficit en infrastructure en Afrique.


Frédéric Betta-Akwa 

mardi 4 août 2015

FOREIGN DIRECT INVESTMENTS (F.D.I) IN AFRICA.

According to the 2012 UNCTAD report on foreign direct investment (FDI), North Africa would have been very affected by the Arab Spring.While, the South of the Sahara would experience a "boom" none.

With a flow of 42.7 billion dollars in 2011, foreign direct investment (FDI) fell for the third consecutive year on African soil after the "2012 Report on World Investment" of Nations conference United for Trade and Development (UNCTAD), published July 5, 2012.






  • North Africa and the Maghreb


Between 2010 and 2011, FDI flows to North Africa is indeed gone from 13.6 to 5.8 billion as a result of the Arab spring.Egypt and Libya have been particularly affected.

The Maghreb however, is doing better.In full revolution, Tunisia has resisted maintaining its FDI inflows to 1.1 billion dollars in 2011.A figure that is finally settled at a level close to that recorded in previous years: 1.5 billion in 2010 and between 1.7 and 1.8 billion between 2007 and 2009.Algeria (2.6 billion dollars) and Morocco (2.5 billion) show the same FDI flows before the international crisis of 2008.



  • South of Sahara


In this continent area the result is very positiv.FDI soared to $ 36.9 billion last year, approaching the historical peak of 2008 (37.3 billion).

"A continued increase in raw material prices and a favorable economic environment in SSA are among the factors contributing to this recovery," says the report.In fact, FDI in commodities dominate (about 25%) before the telecom, energy, real estate, commerce and industry.


So, regarding our modest contribution relative to FDI in Africa.


Frédéric Betta-Akwa

LES INVESTISSEMENTS DIRECTS A L'ETRANGER (I.D.E) EN AFRIQUE.

Selon, le rapport 2012 de la Cnuced sur les investissements directs étrangers (I.D.E), l'Afrique du Nord aurait été très affectée par les printemps arabes.Tandis que, le Sud du Sahara connaîtrait un "boom" sans pareil.

Avec un flux de 42,7 milliards de dollars en 2011, les investissements directs étrangers (I.D.E) reculent pour la troisième année consécutive sur le sol africain d'après le "rapport 2012 sur l'investissement dans le monde" de la conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement (Cnuced), publié le 05 juillet 2012.






  • L'Afrique du Nord et le Maghreb


Entre 2010 et 2011, le flux d'I.D.E à destination de l'Afrique du Nord est en effet passé de 13,6 à 5,8 milliards de dollars sous l'effet des printemps arabes.L'Egypte et la Lybie ont été particulièrement touchés.

Le Maghreb en revanche, s'en sort mieux.En pleine révolution, la Tunisie a résisté en maintenant son flux d'I.D.E à 1,1 milliard de dollar en 2011.Un chiffre qui s"établit  finalement à un niveau proche de celui enregistré au cours des années précédentes: 1,5 milliard en 2010 et entre 1,7 et 1,8 milliard entre 2007 et 2009.L'Algérie (2,6 milliards de dollars) et le Maroc (2,5 milliards) affichent les mêmes flux d'I.D.E qu'avant la crise internationale de 2008.



  • Le Sud du Sahara


Dans cette zone du continent le résultat est très positif.Les I.D.E se sont envolés à 36,9 milliards de dollars l'an dernier, approchant le pic historique de 2008 (37,3 milliards).

"Une augmentation continue du prix des matières premières et un contexte économique favorable en Afrique subsaharienne figurent parmi les facteurs ayant contribué à ce redressement", explique le rapport.De fait, les I.D.E dans les matières premières dominent (25% environ) devant les télécoms,l'énergie,l'immobilier,le commerce et l'industrie.

Voilà, ce qui concerne notre modeste contribution relative aux I.D.E en Afrique.


Frédéric Betta-Akwa

lundi 3 août 2015

THE IMPORTANCE OF HAPPINESS.

As an entrepreneur, you are called to face ups and downs throughout your entrepreneurial journey.These steps, whether positive or negative, should never affect your happiness.





You need, to be unconditionally happy.

Your happiness should under no circumstances depend on your success or your failure.

You must learn to appreciate every moment of your life.The latter, go in the direction of your goals or not.

You must learn, to put a wall between your professional life and your privacy.

You must learn, to accept failures.They are, an integral part of your trip.

Your failures should be your springboard.And no, of limiting factor.

You must have a life outside of your company.This, will allow you to let go prise.And therefore, to better understand the situations you faced.

You must learn to question yourself, to look around you, breathe ... And to tell you that life is beautiful ...

You must learn, to cultivate your resilience.It can be done, through the practice of a sport of your choice.

You need, to have a spiritual life.This, will enable you to better cope with your daily challenges and perspective.

Without the pursuit of happiness, you will become a slave of your dreams.So, A being deeply unhappy.

Dreams do not aim, to destroy you ...But rather, to help you accomplish your full potentiel.So, to be a man or a woman deeply fulfilling.

The often tend to wonder, what is happiness?

Have you ever felt within a few seconds the feeling of being appeased, light, freed of any weight?

In fact, happiness is an ideal towards which we.And be looking for him, it is already having found.


This regard,our modest contribution relative to the importance of happiness.


Frédéric Betta-Akwa